En arrivant à Bryce, on n’a pas d’autre choix que celui d’observer l’Amphithéâtre à partir des hauteurs du « Rim Trail » (voir notre blogue du 17 octobre 2014). C’est à la fois irréel et spectaculaire. C’est merveilleux, mais ce n’est pas tout.
Même si c’est déjà beaucoup, c’est malheureusement, ce dont le touriste en autocar doit se contenter. Pour quiconque peut y consacrer trois ou quatre heures, idéalement trois ou quatre jours, il y a encore plus d’irréel, encore plus de spectaculaire. L’atmosphère désertique domine : la chaleurs qui règne au fond du canyon, l’omniprésence du sable, la végétation qui semble souffrir. Mais à tout moment, on ressent aussi la puissance de l’eau : les sculptures naturelles aux allures de Goliath, les canalisations laissées par les torrents printaniers et les « flash flood » estivaux, la végétation qui s’incruste. Au beau milieu de cette nature qui s’impose, on s’étonne, on se sent tout petit.
Michèle et Claudel18 octobre 2014 Moab, Utah
As one arrives at Bryce, he had no choice but to observe the Amphitheatre from the heights of the Rim Trail (see our blog from October 17, 2014). It is both surreal and spectacular. That’s amazing, but that’s not all.
Although fantastic, it is unfortunately all what the tourist traveling on a regular organized tour will see. For anyone who can spend three or four hours, ideally three or four days, there are even more surreal, even more spectacular. The desert atmosphere dominates: the heat that prevails in the canyon, the ubiquitous sand, and the struggling vegetation. Yet, at any time, one can also feel the power of water: natural Goliath-size sculptures, washes left by the spring torrents and the summer flash floods, and the insisting vegetation. In the midst of this nature, feelings are emerging: astonishment and fragility.
Michele & Claudel October 18, 2014 Moab, Utah